Les programmes que nous avons identifiés pour vous

programmes

La liste que nous vous présentons ici est préliminaire : en l'état actuel des connaissances scientifiques, elle est la plus à jour. Cette liste reprend ainsi les programmes caritatifs qui ont été :

identifiés par les plus grandes institutions de recherche indépendantes ayant effectué des recherches sur l'impact réalisé ; à chaque fois, nous vous présentons leurs travaux en toute transparence

confirmés comme étant éligibles aux déductions d'impôts pour les contribuables français, particuliers comme entreprises

Ces listes évolueront lorsque nous produirons nos premiers résultats, afin qu'à tout moment vous soyez assuré que vos dons soient reversés à celles et ceux qui en feront le meilleur usage.

De cette façon, vous êtes sûr·e que votre don sera le plus utile.

Si vous désirez nous suggérer d'autres organisations à évaluer, contactez-nous.

Quelques points de repère, sur ce que des personnes similaires à vous donnent habituellement :

Selon la religion chrétienne, chacun devrait donner au moins 10% de son revenu après impôt et taxe (la dîme, selon les Ecritures)

Selon la religion musulmane, chacun devrait donner 2,5% de sa richesse lorsque celle-ci dépasse un seuil minimum (la Zakât Al Maal).

Selon la religion juive, chacun devrait donner 20% de son revenu (la tsedaka, selon la Halakhah).

Certains donateurs vont encore plus loin, comme les partisans de l'altruisme efficace qui s'engagent publiquement à donner toute leur vie une portion de leurs revenus aux organisations les plus efficaces, dans le cadre du Giving Pledge. Parmi eux, William MacAskill, professeur à Oxford, s'est ainsi engagé à faire don de la totalité de son revenu annuel net supérieur à 25 000 £.

Le philosophe Peter Singer donne quant à lui un tiers de ses ressources, et a théorisé en 1972 cette logique : "si en dépensant peu de ressources nous pouvons éviter que des évènements néfastes arrivent, alors nous avons l’obligation morale de faire cette dépense".

En France, l'Etat consacre 0,55% du revenu national brut pour l'aide au développement. Si 100% de la population active en faisait autant et donnait ne serait-ce qu'une fois 0,5% de ses revenus, cela permettrait par exemple de vacciner 150 millions d'enfants contre plusieurs maladies mortelles.

En moyenne en 2023, la moitié des français effectuent des dons, pour un montant de 200 euros.

Je suis prêt-e à donner